Il faut dire que l'adaptation n'est pas immédiate.
D'abord parce que Buenos Aires, longtemps fantasmé, est finalement bien différent que ce que mon imagination fertile avait pu créer. Une ville géante, grise, en travaux permanents. Il s'agit de sautiller sur le trottoir pour éviter nids de poule et excréments animaliers en tout genre. Un vrai parcours du combattant. Le traffic est saturé que ce soit sur/sous terre. Les chauffards créent des accidents sous nos yeux régulierement : la conduite extreme-high-speed étant ici un sport national... Que dire de ces centaines d'yeux qui vous suivent d'un bout à l'autre du trottoir, accompagnés souvent de sifflements et autres compliments.
"Ah Paris, Paris que je te quitte" mais comme tu me manques.
Une pensée à tous ceux qui m'aident à tenir,
postés là-bas de l'autre côté de l'Atlantique
1 commentaire:
Ce n'est qu'une question d'adaptation mi amor... Tout le monde fantasme et la réalité n'est pas toujours conforme à nos doux rêves. Si Paris te manque, écoute en boucle la chanson "J'aime plus Paris" de Thomas Dutronc. Je te l'envoie par mail.
TM
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